De nos jours, la sphère communicationnelle semble dominée par des considérations « marketing », et chacun clame son opinion en considérant l'opinion adverse -- justement -- comme celle d'un adversaire, qu'il convient d'écraser en faisant plus de bruit que lui. (Avouons que le cartel techno-politico-pharmaco-financier y a récemment fortement contribué.)